Une marche printanière très appréciée
Un grand merci à Martine et Jean-François Rodriguez et le couple venu aider à
préparer cette nouvelle marche courte d’avril. C’était magnifique !
Malgré un temps légèrement frisquet à l’heure du rendez-vous sur le parking de la
Découverte - les adhérents étaient déjà 19, puis au parking de Saint Lunaire, rue du
clos du Marais, nous étions 21- le soleil s’est mis à briller. Après quelques
informations données par Jean-François sur le planning de mai et futures sorties, la
marche a démarré ainsi que les bavardages (c’est normal !).
Des sentiers bien balisés d’abord, avec un aperçu sur Saint Lunaire : au loin, le
clocher de l’église et quelques beaux bâtiments, vue sur mer, et puis c’est un
panorama sur Cézembre qui nous attendait.
Des rencontres : les souriants travailleurs qui font l’entretien du sentier avec leur
casque de protection nous ont ouvert le chemin ; deux allemandes grimpant à contre-
courant de notre groupe (on entend un « so schön ! » de l’une d’elle, émerveillée par
le paysage), un couple qui nous prend en photo (voir photo de groupe), une jeune
famille de cyclistes en vacances… Temps de pause face à la mer, avec partage
d’abricots et pruneaux pour nous donner de la force juste avant de gravir une pente
goudronnée (là, c’est un peu plus raide).
Nous en avons eu plein les yeux d’un environnement aux multiples couleurs. La
Fourberie aux maisons soignées, les arbres roses et buissons couverts de fleurs,
genêts et lilas odorants. Le parcours se faisant par les prairies, certains d’entre nous
ont pu apercevoir un poney.
Voilà une nature enchanteresse avec ses bosquets pleins de fougères et de
jacinthes sauvages, les mûriers pourraient être revisités par des randonneurs
gourmands à la fin de l’été ! Pour au détour d’un chemin, un champ immense de blé
levé nous offre une vue apaisante… pas trop le temps de rêvasser, nous continuons
pour trouver le bon chemin par « le verger conservatoire », parfois en file indienne.
Tiens ! On se croirait presque en montagne à cet endroit. Des panneaux, de place en
place, nous indiquent la faune qui y est protégée. Une jolie descente, passage de
deux ponts de bois au-dessus du cours d’eau et nous revoilà tous regroupés pour
conclure ce voyage bucolique. Une réussite, cette balade !